Aidez Senno

Vous commencez à descendre les escaliers. Lentement mais sûrement…
Malheureusement la douleur devenait insupportable. Chaque marche que vous descendez de plus vous fatigue davantage. Vous tremblez et à tout moment ce peut être la chute.

Senno comprit que vous ne pourrez pas tenir plus longtemps, la chute était inévitable a ce rythme… Alors il vous dit d’un ton désolé.

Bon… Tu m'excusera mais… je n’ai pas le choix…

Soudain, il poussa la boîte.

Vous tombez à l'avant. Vous lâchez prise à votre tour afin d'amortir la chute mais la boîte, elle, tombe avec vous et est sur le point de vous écraser comme une crêpe dans les escaliers.

Mais avant que cela n’arrive, Senno hurla “Volare via !”
Puis contre toute attente, un miracle se produisit.
Persuadez de vous faire écraser par la boite, vous frôlez de peu la crise cardiaque. Mais rien n’eu lieu, vous dégringolez les escaliers comme une petite merde comme si il n’y avait jamais eu de caisse. Et une fois la chute finie, vous réalisez que vous n'êtes pas mort. Alors vous vous relevez afin de voir ce qu'était advenu de la boite mais en vous relevant vous vous fracasser le crâne contre quelque chose qui se trouvait juste au dessus de votre tête.

C'était la caisse en question. Et elle lévitait dans les aires tout en étant entourée d’une légère aura blanche. Autour d’elle l’aire était éclaircie et plus frais.
Celle-ci se contenta de passer au-dessus de vous tranquillement, s'enfonçant dans la cave.

Vous vous relèvez très surpris, et vous retournez en direction de Senno afin d’obtenir des réponses. Et alors que votre regard se pose sur lui, vous comprenez le pourquoi du comment par déduction. Senno était entouré de la même aura que celle de la caisse, et entre ses deux mains se trouvait un sceau magique des vents, apparaissant dans l’aire.

La caisse continua sa route et se déposa tranquillement dans un coin de la cave, entre deux autres caisses du même gabarit. A ce moment la l’aura autour de la boîte disparu en même temps que le sceau magique que tenait Senno.

Ouf… On a eu chaud !
Dit il essoufflé.